À titre d’écologiste de renom, Pierre Dansereau est invité à participer à des missions scientifiques dans divers pays où il apporte son expertise en matière d’écologie humaine et urbaine. Il se joint ainsi, en 1972, à une mission scientifique au Japon organisée par le ministre d’État chargé des Sciences de la Technologie du Canada en collaboration avec l’Agence japonaise des sciences et technologies. Lors de cette mission, Pierre Dansereau s’intéresse particulièrement, d’un point de vue écologique, aux technologies japonaises et à l’approche des Japonais dans les domaines de l’environnement, de la gestion des transports et des aménagements urbains, de l’agriculture et de l’alimentation.
En 1974, il est invité à participer à une mission de l’Agence canadienne pour le développement international (ACDI) en Afrique. Il se rend ainsi à Nairobi au Kenya où il assiste, à titre d’observateur, à la deuxième session du conseil d’administration du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE). Lors de cette mission, Pierre Dansereau a également l’occasion de se rendre à Kairouan en Tunisie où il fait diverses recommandations à l’ACDI concernant l’impact écologique de la construction d’un barrage réalisé sur l’oued Zeroud afin de protéger la ville des inondations.
C’est à titre de consultant que Pierre Dansereau se joint, en 1978, à un groupe d’écologistes afin de produire un rapport qu’il remet au Haut commissariat au tourisme de la République togolaise concernant l’écologie du site de construction du complexe intégré hôtelier Payamé près du site d’Aného.