Pierre Dansereau participe à de nombreux congrès et colloques au cours des années 1990 tant au Québec, au Brésil, qu’en France.
En 1990, Pierre Dansereau participe au Séminaire Delphi sur l’environnement organisé par le collectif Environnement 2000. Il y présente une communication intitulée : « Environnement 2000 : aménager la solidarité ». En 1992, il se rend à Belém au Brésil pour une participation au second Congrès national sur les essences indigènes. Il retourne à Belém en 1995 à titre de conférencier invité au Séminaire international sur les réserves naturelles, les réserves des biosphères et le développement durable. En 1998, Pierre Dansereau se rend une fois de plus au Brésil, soit à Belo Horizonte afin de participer à un congrès organisé en son hommage sous le thème « Éthique écologique et l’éducation sur l’éco-développement : un message de Pierre Dansereau ». Suivant ce séminaire, 14 textes de l’écologiste seront traduits en portugais et publiés en 1999. « Le Brésil est gravé dans mon cœur »1 déclare Pierre Dansereau en 2001.
Impliqué dans les activités de l’Association francophone pour le savoir (ACFAS) dès le début de sa carrière, Pierre Dansereau renouvelle à maintes reprises son intérêt pour cette association en participant aux congrès des années 1991, 1993, 1994, 1995 et 1996. Lors du congrès de 1994, il prononce une communication intitulée « Biodiversité – écodiversité – sociodiversité ».
Bien que fortement sollicité et occupé par ses activités scientifiques, Pierre Dansereau ne manque pas de participer à des événements artistiques tels que le Symposium « La sonorité des lieux », tenu sous les auspices de la Fondation René-Derouin, au cours duquel il fait ressortir les similarités entre les recherches du scientifique et de l’artiste.
1 Pierre Dansereau dans le film Quelques raisons d’espérer, 2001, ONF.
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